Une manche partout

L’Etoile Noire de Strasbourg et les Corsaires de Dunkerque sont dos-à-dos l’issue des deux premiers matchs de leur série de quart de finale disputés ce week-end à la patinoire Michel Raffoux.

Samedi soir, ce sont les Nordistes qui ont pris l’avantage à l’issue d’une rencontre dominée sur le score de 5 buts à 2. L’Etoile Noire avait pourtant ouvert le score par Louis Olive (14’06) en première période puis était revenu à 2-2 par Enzo Poirot en début de deuxième période (23’36) mais elle n’a pu empêcher les Corsaires de décrocher le premier point.

Dimanche, ce sont les Dunkerquois qui se sont mis les premiers en action, inscrivant un but en infériorité numérique après 4 minutes de jeu. Alejandro Burgos (14’45) et Christoffer Gozzi (15’03) ont ensuite permettre à l’Etoile Noire d’égaliser et de prendre la tête en l’espace de 20 secondes. En deuxième période, Strasbourg fait le break par Brandon Egli (26’39) mais les Corsaires reviennent au contact 20 secondes plus tard. En fin de période, Alejandro Burgos (38’18) inscrit son 2^e but de soirée permettant à l’Etoile Noire vire en tête 4-2 à l’issue de la 2^e période. Cet écart, Strasbourg parvient à le conserver en 3^e période, Louis Olive inscrivant un 5^e but Alsacien (46’39) avant de voir Dunkerque revenir à deux longueurs à moins de 7 minutes du terme.

Les deux équipes se retrouveront mercredi et jeudi à l’Iceberg pour deux matchs qui pourraient permettre à l’un ou l’autre de l’emporter. Si le score reste de parité à l’issue de ces deux rencontres, l’ultime manche aura lieu dans exactement une semaine, dimanche 24 mars à Dunkerque. Dans les autres séries, Nantes et Epinal réussissent le carton plein respectivement face à Cholet (5-2 et 6-0) et à Tours (2-1 et 6-0). Caen, longtemps leader de la saison régulière est en revanche en difficulté face à Chambéry : après avoir perdu la première rencontre 1-4, les Drakkars ont eu recours à la prolongation pour s’adjuger la deuxième manche (3-2 ap) et se retrouver au pied du mur mercredi en Savoie

Photo : Jean-Christophe Simonin